Synopsis
Il propose une expérience d’éveil, un élargissement de soi; d’aller au-delà du niveau de conscience actuel de l’humanité. Bref, d’accomplir une réalisation intemporelle plus grande et plus parfaite que toutes les réalisations souhaitables dans le monde matériel.
Une haute présentification que la science rationnelle ne peut actualiser au mental!
L’être humain avance à reculons!
Il se cantonne au stade de l’être mortel. Or, s’il aspire à une vie après la mort, il doit étendre sa vision de soi, jusqu’à la connaissance de l’être psychique qui est à l’intérieur de lui, seul détenteur du concept d’immortalité.
En fin de compte, on peut dire que la survie de l’âme en dépend!
Ce livre est aussi l’opportunité de commencer à vivre une spiritualité élevée, dépourvue de tout dogme religieux ou politique, conjuguée à la première personne du singulier. Il ne préconise aucune systématisation des enseignements et n’a point pour intention la conversion de quiconque.
Table des matières
Remerciement 15
Avertissement 19
Préface 27
Prologue 33
Prélude 37
Chapitre I : L’entrée dans l’au-delà 39
Le couloir de l’oubli
Rencontre d’un être de lumière
Prisonnier du rêve
Contact avec ma mère décédée
L’éternel présent
L’instant zéro séparant le passé du futur
L’homme indissociable de l’univers
Le cerveau et la pensée
Le cerveau et les souvenirs
Matière, onde et énergie
Les perceptions sensorielles
Interprétation subjective du cerveau
Chapitre II : La vie dans l’au-delà75
Les ombres vivantes
Les zombis
Les maisons hantées
Les fantômes errants
Les fantômes fluidiques
Les vampires
Les élémentaux
Les démons
La hiérarchie démoniaque
L’exorcisme
La communication avec les morts
Les fées « envoyée du destin »
Les différents modes de retour
La mort par suicide
La mort par accident
La mort naturelle
La mort par maladie
Le départ prématuré
La révision post-mortem
Les trois étapes intermédiaires de l’au-delà
Le BardoThödol et les trois états intermédiaires de l’au-delà
Le subconscient et l’omre
Les nouvelles conditions d’existences
L’éternité, hors du temps et de l’espace
Les souffrances de l’esprit
L’incinération
L’énumation
La momification
Les cérémonies funéraires
Les visions supra-mentales
Le purgatoire et l’enfer
L’acceptation de la mort
Chapitre III : La croisée des chemins151
Le grand cycle universel
L’eschatologie (La fin de l’homme et la fin du monde)
La prédestination et le libre arbitre
Le non-agir
La réincarnation
Le karma et la causalité
Le karma individuel
Le dharma et la vertu
Le karma inférieur et le karma supérieur
Le karma collectif — L’Esprit-groupe
Le souvenir des vies successives
Souvenir — Essence
Les renaissances
Chapitre IV : La créature vivante199
La constitution de la créature vivante
La création de la créature selon la genèse
L’ange et la bête
Les centres biopsychiques (chakras)
La constitution de la créature selon la conception égyptienne
La constitution de la créature selon la conception hindouiste
La constitution de la créature selon la conception grecque
La constitution de la créature selon la conception islamique
L’intégration de l’ange à la bête
Chapitre V : Images de l’au-delà221
Voyage dans une sphère spirituelle
Rencontre de personnes décédées
La structure des ondes viratoires ( L’aura)
La Quinte Essence
Le Tao inexprimable
Le cœur du Verbe
La classification des esprits
Les grands instructeurs du monde
Les maîtres du karma
Visite d’un hôpital
La hiérarchie angélique
Transcendance du principe de néguentropie
Survol de l’au-delà
Chapitre VI : La grande matrice311
Rêve et réalité
Le pouvoir créatif de l’esprit
Les paradis spirituels
La disparition des paradis
Les formes
Manifestations virtuelles
Le monde parallèle
Les nouvelles incarnations
La naissance (L’entré de l’ange dans la matière via la bête)
Chapitre VII : Le grand miroir sacré331
La constitution de l’être humain selon la théorie du yin et du yang
Cosmographie d’après la théorie du yin et du yang
La manifestation tripartite de la création et de la créature vivante
Représentation de la création (plan du macrocosme)
Représentation de la création (plan du microcosme)
La force centrifuge versus la force centripète
Le champ électromagnétique
L’image originelle
René Descartes
Théisme et déisme
Monothéisme, Monisme et Panthéisme
La conscience de l’unique et du multiple
Dieu subjectif
Dieu objectif
La conscience subjective
La conscience objective
Le mystère de la Trinité (Un seul Dieu en Trois personnes)
Le caractère androgyne de l’esprit
Corps — Forme — Usage
Le dédoublement de la NATURE ORIGINELLE
Chapitre VIII : Le monde du rêve395
La psychologie et le rêve
Les images archétypiques et le rêve
Le rêve, réalité ontologique
La réalité virtuelle
Réalité et irréalité
Raison et conscience
Retour à René Descartes
Élargissement du champ de conscience
Rêve et expérience
Le sommeil sans rêve
Les buveuses de rêves
Chapitre IX : Image du grand moi419
Esprit et âme
Le permanent (le Soi)
Le bouddisme et le Soi
L’hindouisme et le Soi
Carl G. Jung et le Soi
Atman et le Soi
Le soi d’après le Yin et le Yang
Le soi et le grand moi
Le karma et le grand moi
Le grand moi et le Ka (égyptien)
Le pouvoir d’identification du nom
Le grand moi et la causalité formative
Le grand moi
L’axe de cristallisation
Le livre des morts égyptiens
La deuxième mort
L’impermanence de l’esprit subjectif
Cristallisation versus décristalisation de l’être psychique (l’esprit)
L’oubli de soi
Le sommeil internatal
Osiris, le dieu mort
Chapitre X : Image du petit moi455
La connaissance du petit moi
L’homme étape transitoire
L’édification du petit moi
Les trois centres de consciences de l’être humain
L’âme conscience instinctive de l’être humain
Les nombreuses images du petit moi
L’identification au petit moi
Libération du petit moi
L’image véritable de l’être humain
Inversion de la causalité
Exercice de désidentification
Exercice de dédoublement intérieur
Exercice de rappel de soi
Exercice d’observation du moi
L’expérience nirvanique
L’expérience d’intégration du moi avec le Soi
La coexistence de l’être et du non-être selon le Tao
Chapitre XI : Certitude irrationnelle515
La valeur réaliste de la nature surréelle
La limitation du mental
La connaissance intuitive
La nature paradoxale et transcendante de l’être
Le plan imaginal
L’axe de cristallisation
L’être psychique
La dégradation de l’image mentale
L’attachement au monde matériel
Monde et corps éthérique
Le dogme de la résurrection des corps
La coexistence des composantes contradictions
Chapitre XII : L’enfantement spirituel543
L’existence atemporelle
L’expérience de l’immortalité
La continuité du personnel
La véritable prise de conscience
Une représentation adéquate de Soi
La mort psychologique
Les textes des sarcophages égyptiens
L’ultime but de la réalité
L’esprit qui se tourne vers le Soi
Solidarité solitaire
La réalité intégrale
Les micros-univers-bulles
Les mondes intérieurs
L’existence unifiée
Le secret du véritable pouvoir transcendant
Chapitre XIII : Le chemin du retour611
La séparation de l’esprit
La descente aux enfers
Le déphasage psychique
L’ultime adieu
L’inimaginable tableau
Le point d’insertion
Le convertisseur cérébral
Épilogue671
Je composai un livre, diront les gens injustement. Ces pensées gravées dans la matière ne sont pas de moi. Ce qu’elles racontent provient d’un être venu d’ailleurs. Celui-ci ne m’est pas tout à fait inconnu, malgré tout!
Mon esprit est un peu rudimentaire, sans grand talent. N’étant en soi qu’un simple ignorant, pauvre de moi! Grâce à quel moyen aurais-je pu en être l’auteur? Je ne puis que transcrire ses paroles, un point c’est tout!
Je désirais vous dire : que mon rôle est peu important. En vertu de quoi cela s’est passé ainsi pour moi. A quel point cette déclaration me tenait à cœur. J’espère avoir dissipé les malentendus, plus que tout!
Ce livre s’adresse aux chercheurs de vérité en quête d’évolution spirituelle idéalement familiarisés à la métaphysique et ayant même réalisé quelques expériences des réalités auxquelles elles se réfèrent…
C’est tout autre chose qu’un essai philosophique stérile, une platitude rationaliste pour la raison discursive... ou encore une quête de connaissances à dormir debout.
C’est, avant tout, une image-vision qui s’intéresse à l’ensemble de liaisons entre les différents niveaux de réalité de l’être; le Moi qui est « l’Hier, l’Aujourd’hui et le Demain » pour reprendre une formulation du livre des morts égyptiens. Et plus particulièrement, sa capacité à se métamorphoser en être immortel tout en conservant sa personnalité, devrais-je plutôt dire son identité actuelle. Ressuscité, il était hier (Osiris); transfiguré, il est aujourd’hui et demain, et devient Rê, symbolisé dans la phrase : « Je suis Hier, Je suis Aujourd’hui, Je suis Demain. » contenue dans le (Chapitre 64) du dit texte.
Cet état de l’Être fut décrit par les traditions religieuses et ésotériques du monde entier depuis des millénaires.
Sans ces doctrines on ne saurait rien comprendre des correspondances interactives entre le monde phénoménal et le monde nouménal et la relation courante corps-âme-esprit nous guidant vers la connaissance de soi.
Et bien que les matérialistes qui se prennent pour des savants soient diamétralement opposés au spiritualisme, prétextant être les seuls détenteurs de la connaissance, ce n’est là que vérité superficielle, car leur savoir se limite uniquement à la réalité extérieure et ne saurait se saisir de la réalité intérieure. L’ancienne Upanishads Mundaka qualifie ces scientistes d’ignares, de sots et de ballots. En parlant du matérialisme et de sa science Shrî Aurobindo s’exprimait ainsi :
« Ces formules de la science ont beau être pragmatiquement justes et infaillibles, elles ont beau gouverner le « comment » pratique des processus de la Nature, elles ne révèlent pas le « comment » et le « pourquoi » intrinsèques. ».
De toute façon, la connaissance contenue dans ce livre ne saurait intéresser ces athées incapables de trouver l’ampleur de leur évolution naturelle. Ces personnes centrées uniquement sur la réalité concrète et le concept de la mort absolue, et qui proclament hautement le caractère mythologique et illusoire de la vie immatérielle amènent, chez l’immense majorité des occidentaux, la conviction que la vie humaine n’a d’autres objectifs que la satisfaction des besoins biologiques et sociaux. Cette doctrine, en plus de vider l’être humain de son essence (sa spiritualité), aboutit à un matérialisme agressif, à l’amoralisme et à l’absurdité de la vie. Dans cette vision du monde, l’univers devient un simple caprice du hasard au sein de l’inconscience cosmique. L’humanité, une race insignifiante promise à la mort! La vie, l’expérience du néant!
L’homme ne peut véritablement vivre avec l’idée d’une existence promise au néant!
Selon la philosophie existentielle, l’être humain est à une dimension; une sorte de machine biologique. Rien de plus qu’un organisme matériel! Quand le corps physique meurt : tout est fini! La dissolution du corps après la mort demeure l’unique réalité. Il n’existe d’autre substance que la matière. Les matérialistes ne croient pas à un principe immatériel uni au corps. D’une façon générale, ils rejettent l’existence de l’âme, de l’au-delà, du divin. Alors comment pourraient-ils croire à la survivance au corps physique? En vain accumulerait-on à leurs yeux des explications et des faits d’expériences mystiques, ils les contesteraient tous parce qu’ils n’admettent pas le principe.
Nous ne pouvons oublier que toutes nos connaissances sont forcément relatives à la nature de nos mesures et à nos observations. Ainsi, la science, la philosophie et même la métaphysique sont, avant tout la connaissance de nos limites. La réalité apparente est liée à la perception des états particuliers de l’être. Au fur et à mesure que notre perception évolue, l’état change, et ce que nous pensions être la réalité change également. Tout dépend de notre compréhension et du niveau spirituel de notre être.
Il est vrai que l’on n’a point démontré avec certitude le phénomène métaphysique. Mais jusqu’à présent, ni la philosophie, ni la psychologie, ni la physiologie, ni aucune autre discipline rationnelle n’ont pu invalider son existence.
Il ne faut pas nier ce que nos yeux ne peuvent pas voir!
Le consensus rationaliste hostile à tout ce qui est catalogué « mystique » provient de l’impossibilité à prouver aux autres, son expérience personnelle des réalités intérieures…
Mais, qui pourrait nier l’existence d’un phénomène observé par soi-même?
L’esprit, c’est « quelque chose » dont nous faisons l’expérience, bien que nous ne puissions pas l’observer. Pouvons-nous pour autant mettre en doute son existence?
Nous avons beau dire que nous sommes sceptiques, incroyants, fermés à tout ce qui n’est pas démontrable scientifiquement. Mais un jour, après avoir atteint les limites de l’intellect en matière de connaissances physiques, on ressent au plus profond de soi, l’idée, le sentiment qu’il y a en nous quelque chose d’autre que ce que nous croyons être, une vie immatérielle qui se détermine; une intuition inexplicable de l’existence d’un au-delà vers lequel on peut orienter sa vie matérielle; un désir grandissant de briser les murailles de notre mentalité physique enfermée dans les réalités extérieures et de passer aux réalités intérieures.
Aussi loin qu’il soit permis de remonter dans l’histoire de l’humanité, on s’aperçoit que l’homme a eu besoin de trouver quelque chose par quoi s’accomplir en la nature et où il se retrouve ultimement dans le divin.
De ce fait, tout au long des siècles, la reconnaissance des réalités intérieures fut affirmée par toutes les castes sacerdotales. La religion égyptienne était destinée à rendre présentes et vivantes les puissances du cosmos tel qu’elles se sont déroulées « la première fois », c’est-à-dire d’actualiser la réalité spirituelle dans la vie matérielle. Pour la tradition religieuse de la Grèce antique, le monde divin était conçu à la ressemblance du monde humain. La pensée alchimique nous dit que nous ne sommes pas extérieurs à ce monde, mais qu’en quelque sorte il y a un monde en nous, et qu’en fait nous en faisons partie. La Franc-Maçonnerie a toujours eu pour but de donner une forme concrète à la vie spirituelle, afin d’aider l’esprit à remonter du plan matériel au plan spirituel. Son objectif est d’aider à faire le pont entre les différents plans d’existence et les principaux degrés de l’ascension initiatique. Les religions indiennes mettent uniquement l’accent sur l’aspect intérieur de l’être humain. Que le renoncement à la vie matérielle est la seule voie possible pouvant conduire à la vie authentique. Les hindous et les bouddhistes affirment depuis toujours : que l’âme humaine parvient à la certitude qu’elle est immortelle grâce à l’expérience mystique du Samadhi. Le Christianisme, le Judaïsme et l’Islamisme confirment la réalité intérieure quand ils disent : que l’univers et les âmes humaines procèdent de Dieu, qui est leur cause matérielle, et sont habités par Dieu.Les niveaux de consciences intérieurs ne sont nullement irrationnels et ont un prolongement ouvrant sur des réalités intérieures infinies, qui ne sont pas limitées par le langage, la logique et les mathématiques, comme l’avait d’ailleurs fait remarquer Carl Gustav Jung, le médecin et psychologue suisse (1875-1961), qui ajouta à la notion d’« inconscient personnel » de Freud, le fondateur de la psychanalyse moderne (1856-1939), celle d’un « inconscient collectif ». Mais écoutons Jung sur ce sujet :
« Le point de vue occidental est-il réellement sans préjugés? Que dire de son rationalisme et de sa principale manière de se faire des opinions de l’extérieur, donc de l’extraversion? La rationalité n’est qu’un aspect du monde; elle ne recouvre pas la totalité du domaine de l’expérience. Les événements psychiques ne sont pas simplement causés de l’extérieur et les contenus mentaux ne sont pas de simples dérivés des perceptions sensorielles. Il existe au-dedans une vie mentale irrationnelle, une vie dite spirituelle, dont personne ne connaît ni ne veut connaître la présence, sauf quelques mystiques. La « vie du dedans » est généralement considérée comme dénuée de sens et par conséquent à supprimer. »
Pour trouver une signification fondamentale à son existence; l’être humain doit s’ouvrir à l’idée qu’il existe des états au-delà du monde matériel; il doit comprendre que sa véritable demeure est dans le monde de l’immatériel et que la vie terrestre consiste à un moyen d’ascension pour y parvenir. Finalement, on peut dire que l’existence physique existe pour que l’humain développe sa conscience spatiotemporelle limité en une conscience cosmique illimitée. En d’autres termes, l’être humain doit évoluer en un être divin, c’est-à-dire les êtres mortels ont pour mission de se métamorphoser en être immortels.
Mais dis-moi, toi, oui toi!
Toi qui détournes la tête, écoute-moi!
Peux-tu ouvrir grand l’œil Oudjat?
Contempler l’Œuf Cosmique cerclé d’or!
Peux-tu accomplir l’Ultime Métamorphose?
Revêtir les innombrables formes magiques!
Peux-tu franchir l’embrasure mystérieuse?
Danser sur les rythmes millénaires du temps!
Peux-tu saisir l’inimaginable horizon?
Atteindre la périphérie de l’Univers!
Peux-tu faire de grandes enjambées?
Avancer sans jamais te déplacer!
Peux-tu chevaucher le dragon céleste?
Parcourir les régions du monde Sacré!
Peux-tu aspirer le souffle vivifiant de l’Esprit Saint?
Respirer à l’unisson des dieux ancestraux!
Dès ma petite enfance, je me demandai ce que nous étions dans cet immense univers, pourquoi sommes-nous venus au monde?
Probablement comme vous d’ailleurs.
Ce que nous devions faire pour utiliser au mieux ce bref instant qu’est la vie humaine devant l’éternité des temps cosmiques?
L’incompréhensibilité de l’existence, le fait de vivre, d’avoir une réalité.
L’instabilité de la vie, ses aléas.
Les souffrances inhérentes à l’existence matérielle : La douleur physique, la peine morale, la détresse du cœur, comme le malheur, la maladie et la malchance.
Tant d’efforts et de durs labeurs, tout au long de sa vie, pour atteindre des objectifs qui, en fin de compte, s’avèrent en dernière analyse évanescents et futiles parce que n’aboutissant à rien de définitif.
Le temps qui courbe notre dos, qui ride notre esprit, qui inhume notre mémoire.
L’intolérance à la mort des êtres chers; la tristesse d’une vie privée de leurs affections. Blessure profonde qui jamais ne se cicatrise!
Puis au bout, cette ultime fatalité qu’est la mort, peut-être la seule certitude?
En tout cas, le seul événement inéluctable reliant tous les humains à un même destin.
Les conflits intérieurs qui se produisent entre les différentes composantes psychiques lorsque l’esprit entre en contradiction avec lui-même.
Conflits qui s’opposent à nos tendances instinctives et à nos pensées, qui coexistent dans soi.
Automatismes, psychologiques, instinctifs, impulsions et désirs invétérés, mentaux, vitaux et physique conditionnant inconsciemment notre existence…
Le peu de connaissances de nous-mêmes et de notre existence parallèle; je parle de ces innombrables années de sommeil (environs 5 ans de rêve, pour un individu de 60 ans) à « vivre » dans un monde abstrait des situations qui pourraient avoir quelque chose de bien réel.
Une existence intérieure secrète où nous vivons des expériences sur d’autres plans de notre être en des mondes immatériels.
Toute cette ignorance m’a fait réfléchir sur la réalité de la vie et sur ma propre existence.
Je cherchai réponse à mes interrogations existentielles en lisant des traités philosophiques diamétralement opposés. D’une part, les doctrines sur l’existentialisme athée; d’autre part, l’existentialisme rationaliste évoqué par les spiritualistes. Quant à la psychologie contemporaine, considérée à tort comme une science, qui prétend étudier la conscience et le comportement humain; si elle croit pouvoir se substituer à la religion, cette dernière se goure grandement. Car son étude ne possédant nulle réponse d’ordre métaphysique et n’ayant aucun mysticisme occulte est donc dans l’impossibilité d’apaiser le sentiment d’anxiété relié à la fatalité dans l’homme.
Quoi qu’il en soit, parce que la « science » contemporaine se borne qu’à l’étude des réactions physiologiques associées aux sentiments empirique de la personnalité extérieure; la psychologie pas plus que la psychanalyse n’arrivent à franchir la barrière de l’inconscient et, donc fournir les réponses satisfaisantes à mes questions.
A cause de cela, j’ai donc pensé devenir adepte d’une religion; on sait le rôle important qu’elle joue comme intermédiaire entre l’esprit et l’humain, c’est-à-dire entre le monde spirituel et le monde matériel. Combien elle pousse l’humanité dans son évolution spirituelle, augmente la profondeur de sa vie matérielle, lui octroi l’amour de son prochain et du divin. Et enfin, c’est peut-être le point le plus important, offrir à l’humain un sens à la vie en lui donnant une vision sur le monde de l’après-vie. Mais c’est là une démarche très longue qui demande des années de piétés pour Dieu et je désirais parvenir à un résultat le plus rapidement possible. Aussi, j’ai dû abandonner toute idée de m’exercer à une quelconque pratique religieuse.
Après une longue période de méditation passive et active; allant des approches orientales de type transcendantal et occidental du genre transpersonnel; en passant par des techniques douloureuses d’initiation occulte et des expériences de jeûne spirituel. Ne trouvant pas encore satisfaction, en désespoir de cause, je continuai ma quête en me soumettant à une série d’épreuves de mort provoquée suite à l’absorption de plantes sacrées. C’est plus précisément un état succédant à la léthargie qui mime en quelque sorte le processus de mort durant lequel le moi spatiotemporel s’évanouit puis reprend conscience sur un autre plan en se fondant dans son double, c’est-à-dire l’être psychique.
Les principes cosmiques qui se manifestent dans le monde de la matière et dans le monde immatériel s’expriment également dans le monde végétal.
Les plantes captent les forces telluriques ignées de la terre et reçoivent l’énergie solaire. Elles accumulent cette puissance, d’où leurs propriétés guérisseuses ou vénéneuses et leur emploi dans la magie. Il existe des plantes nobles et des plantes viles, des plantes amies et des plantes ennemies de l’homme. Certaines plantes fournissent à l’homme sa nourriture, lui transmettent la force vitale ou intellectuelle. D’autres plantes provoquent des états d’ivresse ou d’extase, d’autres, la mort.
Presque tous les remèdes et les poisons viennent des plantes.
Les plantes jouent un rôle important dans le développement de l’être humain, qu’on en soit conscient ou non!
J’avais lu dans plusieurs livres que certaines plantes mystiques dégageaient l’esprit du matérialisme rationaliste. Et que les drogues d’initiations étaient utilisées dans toutes les anciennes civilisations pour accéder aux mystères du monde et aux trésors de la connaissance transcendantale, apanage des dieux.
Certaines légendes celtiques racontent que les druides atteignaient la prescience après avoir bu seulement quelques gouttes d’un breuvage magique préparé par la Fée Blanche.
Les prêtres aztèques consommaient certaines drogues magiques lors de cérémonies religieuses. Au cours de ces rites, les portes du surnaturel s’ouvraient devant eux.
On dit que le pavot a le pouvoir de changer suffisamment la vue d’une personne pour lui permettre de voir l’au-delà. Selon les légendes, c’est le dieu Mictlantecuchtli qui a donné les plantes sacrées aux Aztèques dans le but de renforcer leur foi religieuse.
Les grands prêtres égyptiens, de la basse époque, mais aussi des temps archaïques, pratiquaient des cérémonies d’un caractère très spécial, utilisant des drogues leur permettant le passage à la circulation de la vie entre les deux rives de l’existence, visible et invisible. Les boissons sacrées jouent un rôle important dans les rituels hindous. Le bbang fait avec les feuilles écrasées du chanvre indien intensifie les perceptions et provoque surtout des visions surréelles. Cette boisson est très employée par les yogis. Un bon shivaïte doit absorber du bbang au moins une fois par an. Le soma (asclepias acida) est pour les hindous, l’âme d’Indra réellement présent dans le breuvage sacré. C’est le breuvage d’immortalité, intermédiaire entre les hommes et les dieux. On dit que le soma renouvelle la vie du monde, celle des hommes et des dieux. Dans la tradition védique, si les plantes ont des vertus magiques, c’est qu’elles sont elles-mêmes des dons du ciel et les racines de la vie. On les invoque comme des divinités :
À l’origine étaient les eaux,
Et les Plantes du Ciel,
Qui appartiennent à tous les Dieux.
Les redoutables,
Celles qui donnent la vie aux hommes…
Puissent les plantes aux mille feuillages,
Me délivrer de la mort, de l’angoisse!
(Atharva 8-7 Véda).
Le panthéon gréco-romain aussi est riche en magiciens de toutes sortes. Leurs cérémonies religieuses étaient pour la plupart des actes de magie. Est-il nécessaire de préciser que celles-ci faisaient appel à tout un arsenal de rites et de substances magiques? La Thrace et la Thessalie étaient terres de prédication des sorcières et des envoûteurs. Depuis les cérémonies magiques décrites par Homère, jusqu’aux magiciennes de Théocrite ou aux performances d’Apollonius de Thyane, le chemin parcouru par la magie est long.
Les sorciers et les sorcières du monde entier obtenaient leurs pouvoirs psychiques grâce aux recettes magiques. Les Indiens d’Amérique ainsi que tous les chamans d’Asie, de Sibérie et d’ailleurs, pratiquaient des techniques d’extase grâce à des drogues hallucinogènes. Selon le témoignage de certains pères Franciscains venus convertir les Indiens d’Amérique du Sud tropicale, les chamans buvaient une infusion préparée avec diverses variétés de tabac et de plantes magiques pour rejoindre les esprits trépassés.
Il existe un très grand nombre de plantes hallucinogènes utilisées dans les recettes de potions dites magiques : le soma obtenu en pressant une plante sacrée connu seulement des yogis était considéré par les hindous comme étant un breuvage d’immortalité. Le haoma composé de plantes est une liqueur fermentée qui exalte les pouvoirs spirituels. Le huachuma un cactus arborescent du Pérou est réputé procurer le don de voyance. Le muchamore sibérien, un champignon du genre amanite produit des hallucinations analogues à celles de la psilocybine. Le nauacatl, un champignon hallucinogène du Mexique appelé par les Aztèques « Chair de Dieu » provoque des visions célestes. Le peyotl transporte également celui qui en consomme dans des mondes parallèles très colorés, dit-on! L’avoine du diable, plante de la famille des solanées, était fréquemment utilisée par les sorciers et les sorcières durant le grand sabbat. La mandragore appelée par les Grecs « herbe de Circé » a des vertus narcotiques et hallucinatoires. Elle possède des pouvoirs de guérisons exceptionnelles. Provoque des rêves agréables et repousse également les infestations diaboliques. Aux plantes magiques que nous venons de voir s’en ajoutent bien d’autres : la gloire du matin, la jusquiame noire, la belladone, le datura, l’opium. Bref, la liste de ces drogues est bien trop longue, et il me paraît superflu de toutes les énumérer ici.
On peut dire que toutes ces plantes sont liées par leur nature à ce que nous appelons des esprits; elles incarnent en quelque sorte certains aspects du divin. Ces plantes sacrées peuvent nous servir de moyens pour communiquer avec les êtres invisibles qui nous entourent. Comme le chaman, on a non seulement le pouvoir de se projeter hors de son corps physique, mais de « s’incorporer » aux esprits, c’est-à-dire d’établir un contact direct avec le monde surnaturel. On peut franchir de grandes distances sans se déplacer, voir à travers les murs, parler aux esprits, aux défunts, aux fées et même aux animaux.
L’utilisation de ces plantes, moins simple qu’il ne paraît, doit être précédée d’un jeûne et orientée vers l’expérience spirituelle uniquement.
Cette connaissance ne s’acquiert pas sans peine. La consommation rituelle de « plantes de pouvoir » comporte de considérables périls, puisqu’elle propulse instantanément l’être concret (matériel) dans un monde abstrait (immatériel). Un monde inaccessible à la raison (mental rationnel) où l’individu mal préparé peut périr. On les appelle aussi « plante de la mort » quand les doses sont trop massives! Ou encore, « plante qui rend fou » selon les tempéraments. En effet, ces voyages post-mortem sont très difficiles, certains saints et gourous sont sans aucun doute devenus fous en essayant de traverser la barrière de la raison.
Néanmoins, il est absurde de tous les classer au nombre des insensés… C’est souvent par la démesure que les dieux révèlent aux hommes la connaissance de l’énigme existentielle.
Les états de conscience provoqués par l’absorption de ces dites plantes sont les aperçus d’une expérience mystique que les chrétiens et les musulmans connaissent sous le nom d’« extase divine », les anciens bouddhistes et les bouddhistes zen sous le nom de « satori », les jaïns et les hindouistes sous le nom de « moksha » ou encore « samadhi »…
Pour ma part, je crus souvent perdre la raison, voire la vie, mais je suis persuadé que c’est suite à ces expériences d’outre-tombe que mon esprit s’ouvrit sur la réalité du monde de l’immatériel, le pays des dieux et des démons - (s.v.p., ne faites pas cela à la maison!).
Pour bien comprendre le sens philosophique de ce livre, il faut d’abord que vous sachiez que l’action se déroule dans le monde de l’antimatière ou, si vous préférez, dans l’immatériel. Bien entendu, il va de soi que ce récit décrit certaines conditions d’existence de l’être humain dans le monde du pur esprit. Mais plus particulièrement, le cheminement que doit accomplir l’esprit s’il désire survivre à la mort du corps physique (la bête) et par répercussion, celle du corps mental (le petit moi).
Le livre des morts des anciens Égyptiens fut conçu pour éviter au défunt cette deuxième mort dans l’au-delà, la véritable mort.
Dans un premier temps, vous constaterez que l’esprit doit, non seulement, réaliser qu’il est séparé de son corps physique, mais qu’il ne fait plus partie du monde des vivants.
Ensuite, s’il désire éviter la dissolution, il doit également abandonner toutes formes d’identification avec l’image qu’il avait de lui-même au cours de sa vie passée.
Pour y parvenir, il devra affronter un endroit terrifiant pour l’esprit. Un lieu où toutes ses pensées, tous ses fantasmes, deviendront pour lui « réalité ».
L’esprit va grâce aux données qu’il a emmagasinées tout au long de sa vie, créer un monde rempli de visions hallucinantes; heureux si la vie fut bonne, misérable si la vie fut mauvaise.
Si l’esprit ne parvient pas à se détacher de sa nature corruptible, il confectionnera des images et des scénarios jusqu’à ce qu’il puisse s’en délivrer. Si son attachement à l’être physique reste constant, il ne récupérera pas ses moyens quand l’image de ce dernier sera dissoute et perdra donc la connaissance de soi (l’aspect personnel du Soi).
C’est justement à cause de cette perte de conscience que l’esprit plonge dans la nature indistincte (l’aspect impersonnel du Soi).
Aussi, faudrait-il considérer cette désidentification comme étant ni plus ni moins qu’un dépouillement (nettoyage) de l’esprit. Une purification grâce à laquelle non seulement il conservera son individualité, mais aussi, retrouvera sa véritable identité, c’est-à-dire sa nature immortelle, évitant ainsi la seconde mort dans l’au-delà.
Pour bien saisir cette quête de vérité, il importe que vous teniez compte de certaines données de base.
À savoir que l’être humain s’échafaude à partir de trois (3) principes: un esprit pur, non divisé, souvent appelé par les occultistes: conscience objective.
Il faut se rapporter ici à l’idée indienne de l’Atman, dont les modes d’être personnel et cosmique (impersonnel) constituent un parallèle exact à la notion psychologique du Soi mise de l’avant par Carl G. Jung.
Cette conscience que plusieurs religions identifient à tort à l’âme engendre, grâce à une notion subjective existante en son sein, une image d’elle-même qui ne cesse de se personnaliser et que l’on désigne sous le nom de conscience subjective, c’est-à-dire une conscience pourvue de la notion d’ego (le moi).
C’est le concept d’esprit dont parlent ces dites religions et que l’on nomme également le « grand moi ou être psychique », ou encore en langage psychologique l’inconscient.
Inconscient pour notre conscience de surface, mais pas nécessairement inconscient en lui-même ni pour lui-même.
Cet être psychique (l’esprit), à partir d’une projection dans le monde de la matière, s’incarne dans un être physique (l’âme), une conscience reliée à la « bête ».
On retrouve cette même conception chez Platon dans le Timée : « L’âme est dans le corps, et l’esprit est dans l’âme. »
Cette manifestation du principe vital crée à son tour une image d’elle-même que l’on nomme l’être matériel (de surface) ou encore, l’être humain.
Véritable sonde reliée à l’être psychique, cet être vivant permet à ce dernier une confrontation avec le monde de la réalité dite tangible (le monde de la matière), une confrontation à partir de laquelle il se recristallise, c’est-à-dire se manifeste objectivement à lui-même et au reste du monde.
Toutefois, l’être psychique (le grand moi) en se projetant dans l’être matériel crée à son tour une double image de soi à laquelle il s’identifie que l’on nomme : le petit moi.
Ainsi perd-il de vue sa véritable nature et, pour la recouvrer, il devra se libérer de cette image limitative qu’est le petit moi.
Tout au long des millénaires, les grandes religions populaires nous ont prêché que la mort physique est l’occasion in extremis pour accéder à une nouvelle vie purement spirituelle, une condition d’existence supérieure.
Mais devons-nous attendre la mort pour parvenir à cette condition existentielle?
La tradition ésotérique nous enseigne que les mystères de la résurrection, apparemment réservés aux défunts, peuvent être connus durant notre vivant.
À côté des cérémonies religieuses offertes au commun des mortels existaient des rites initiatiques réservés à une élite de la société ainsi qu’à certains grands prêtres.
Des rites secrets qui libéraient les forces associationnelles de l’esprit.
De tout temps, ces initiations furent considérées comme un privilège exceptionnel auquel peu d’individus avaient accès. C’est pourquoi ces initiations étaient toujours tenues dans le plus grand secret.
Nous ne savons pas en quoi consistait exactement l’initiation, le déroulement des rites fut toujours gardé secret, mais il est certain qu’il s’agissait d’un processus de génération spirituelle qui en fin de compte, concernait la survie même de l’esprit outre-tombe.
L’emploi par les vivants des mystères de la résurrection, non seulement, assurait des conditions favorables pour l’après-vie; mais avait aussi le pouvoir de transmuter l’être humain durant sa vie terrestre.
Qui plus est, l’expérimentation d’un authentique contact cosmique ayant métamorphosé son être, conférait à l’initié, homme ou femme, des pouvoirs psychiques tels la guérison, la voyance, la télépathie, etc., mais le principal objectif était l’éveil de la conscience par la connaissance de soi, qui conduit à la naissance de l’être spirituel.
Bien que certaines initiations permettent le passage d’un état d’être à un autre état d’être de manière abrupte, la transmutation globale est longue et difficile. C’est pourquoi l’initiation ne peut se faire que par degrés et c’est l’affaire de toute une vie.
N’oublions point que la vie matérielle est une longue progression par laquelle l’esprit se prépare à une vie spirituelle.
L’évolution doit être un fait spirituel et pas seulement un fait matériel. Le caractère transitoire de la vie matérielle, sa brièveté décevante, oblige l’être humain à s’ouvrir sur la perspective d’une vie immatérielle.
Le livre des morts des anciens Égyptiens nous rappelle que l’existence temporelle est une route empruntée par l’esprit pour entrer dans les régions supérieures de l’être.
Vue sous cet angle, la vie matérielle envisagée comme étape préparatoire à une vie originelle dans l’au-delà, donne un véritable sens à l’existence humaine et confirme les anciennes doctrines ésotériques conduisant l’être humain vers le sacrifice conscient de sa nature inférieure afin de parvenir à une vie supérieure.
« À vous, tous les vivants, qui êtes sur la terre et, à tous les enfants à naître, qui verrez cette tombe, auprès de laquelle vos pas vous conduiront; je vous dis ceci : venez à moi et je vous conduirai sur le chemin qui mène à l’immortalité. »
(Extrait des textes des pyramides)
Cette nuit-là,
Toutes choses sont devenues magiques.
Cette nuit-là,
Je défiai, dieux et déesses antiques.
Cette nuit-là,
Ceux qui ont vécu avant nous sont venus.
Les fantômes du passé sont apparus.
Cette nuit-là,
Les mages de tous les contes pour enfants
Les sorciers, les charmeurs, tous étaient présents.
Cette nuit-là,
Je croisai le fer avec de vieux démons.
Je bouffai des morts et des revenant-bons.
Cette nuit-là,
Ont accouru ceux qui font sombrer l’esprit
Dans les obscurs abîmes de la folie.
Cette nuit-là,
Je vis sortir de la grande matrice,
Une belle inconnue. Ma rédemptrice!
Fille de je ne sais quelle déesse,
Elle est venue avec une promesse.
Cette nuit-là,
Je fis quelque chose qui n’a rien d’humain.
Je touchai à l’interdit... Ça, c’est certain!
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